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Code = NESTOR
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Code = NESTOR
En deux mots, c'est quoi ?
C'est un mec... Qui a peut-être pas trop bien compris comment il s'est retrouvé avec ce nom de code, d'ailleurs. Il le doit à sa mémoire et au héros grec du même nom, mais ça on s'en fiche. Ce qui compte c'est qu'il a une mémoire d'éléphant et qu'on lui demande de s'en servir. L'ennui, c'est que le job est éprouvant pour les nerfs et que notre homme a parfois des envies de se la jouer pantoufle.
16 juin 2010

Perso...

Etant donné la personnalité de mes personnages, il est peut-être utile, quand même, de me positionner, moi.

Tout d'abord, ne perdons pas de vue que tout ce petit monde évolue dans les années 50-60. Ca fait un bail ! Le monde a bien changé depuis...

Donc, si Jean (agent NESTOR) peut avoir l'air solidement macho, dans les premiers épisodes, il y a à ça plusieurs raisons

- si je veux pouvoir le faire évoluer psychologiquement, autant qu'il aie une evolution à accomplir. Il est donc; en 63, en conflit (presque armé) avec ses traumatismes d'enfance et l'impossibilité totale qu'un mec (un vrai un dur) a de se laisser aller à des petites faiblesses comme, par exemple, ces foutues migraines qui le gênent beaucoup dans son travail.

- Simple question de contexte... A moins d'être un grand précurseur, ce qui n'est pas dans son tempérament, il serait dur d'imaginer Jean en mec féministe avant la lettre. Ben oui... Jean ne sera jamais (ou presque) de ceux qui devancent. Il est de ceux qui observent et qui, éventuellement, suivent (ou  ne le font pas).

Donc, j'ai beau être plutôt féministe (encore que j'ai bien souvent l'impression de l'être à ma façon), je suis navrée, mais sur mes planches, ici, vous trouverez un peu de tout, à commencer par un couple tout à fait à l'ancienne, avec le mec qui travaille la nana qui s'occuppe du foyer et des gosses. Il y a bien, aussi, la fille d'un pote à Jean, pour planter dans le décor les féministes des années 60, et un autre de ses potes qui fait un homme au foyer parfait... Mais faut dire qu'il vit seul.

Qu'est-ce que je veux dire par "féministe à ma façon" = je n'aime pas les propos féministes trop revendicatifs (qu'ils soient tenus par un homme ou une femme). Le féminisme ne doit pas être une façon de défendre la supériorité de la femme. Encore moins de louvoyer entre ce à quoi la femme a droit parce qu'elle est fragile et ce qu'il est hors de question de lui refuser au nom de l'égalité des sexes.

2010-06-16

Féministe, certes...

Au même titre que je m'intéresse à d'autres types de discrimnation.

Mais quel que soit le thème de base, je n'aime pas voir les situations renversées par des raisonnement poussés jusqu'à l'absurde.

L'absurde, c'est un style littéraire très intéressant, mais autant qu'il reste un style littéraire... Sinon, il perd tout son intérêt.

Pour en revenir au féminisme...

Et pour rester sur une vision des choses ordonnée et raisonnable...

Définition du féminisme = (du latin femina, femme)

Le féminisme est une doctrine ou une attitude politique, philosophique et sociale, fondée sur l'égalité des sexes. Le féminisme a pour objectifs :

- la défense des intérêts des femmes dans la société,

- l'amélioration et l'extension de leurs droits,

- la fin de l'oppression et des discriminations dont les femmes sont victimes au quotidien,

- leur émancipation.

Définition tirée de cette page = cliquez ICI.

Vous l'aurez remarqué, il est bien question d'égalité...

Mais qui dit "égalité" dit aussi répartition des tâches de façon égale, et dès lors, il me semble que dans le cas de figure d'un couple où l'homme travaille plus il n'y a pas à s'étonner si la femme assume les tâches ménagères. Evidemment, il serait bon, alors, d'entrer dans le débat de l'éventuelle retraite des femmes (ou hommes) au foyer, mais c'est une toute autre histoire.

Ne me dites pas que la femme peut travailler et est heureuse de le faire. Il y a, surtout par nos temps de chômage fréquent, beaucoup de familles, j'en suis sûre, avec un seul salaire. Que ce salaire soit celui de l'homme ou celui de la femme, à vrai dire, c'est presque le cadet des soucis de cet article, et sur un autre de ce blog, ça le serait totalement.

Le féminisme a donné aux hommes l'occasion de s'ouvrir à leur propre féminité. Ils sont, de nos jours, plus sensibles, voire plus fragiles. On commence même à remarquer une mode, déjà bien ancrée, de la "garde-robe pour deux". Il n'est plus tabou de porter une chemise de femme, pour un homme, au contraire. Quand à l'inverse, ça ne l'était plus depuis longtemps, mais ça a perdu de son aspect provoc'.

Est-ce la fin logique d'une évolution ? Après une distinction de plus en plus nette et criante séparant les deux sexes, était-il à prévoir que le relâchement amènerait à cette tentative d'harmonie?

Attention...

Attention...

Ca n'est pas fini !

Deuxième définition, tirée, cette fois, de cette page-ci = cliquez ICI.

Masculinisme : Promouvoir la condition masculine tout en souhaitant un niveau d'égalité supérieur.

Féminisme : Promouvoir la condition féminisme tout en souhaitant un niveau d'égalité supérieur.

Égalitarisme : Promouvoir une égalité dans un but beaucoup plus large que le masculiniste ou le féministe.

Là, je vais me demander si la façon dont je me définis moi-même n'est pas erronée.

Féministe ou égalitariste ?

Ou les deux ?

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Complément documentaire =

Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne

(1791, Olympe de Gouges)

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Vous pouvez pour cet article sur sur   si il vous a plu...

 

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