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Code = NESTOR
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Code = NESTOR
En deux mots, c'est quoi ?
C'est un mec... Qui a peut-être pas trop bien compris comment il s'est retrouvé avec ce nom de code, d'ailleurs. Il le doit à sa mémoire et au héros grec du même nom, mais ça on s'en fiche. Ce qui compte c'est qu'il a une mémoire d'éléphant et qu'on lui demande de s'en servir. L'ennui, c'est que le job est éprouvant pour les nerfs et que notre homme a parfois des envies de se la jouer pantoufle.
19 juin 2010

23 juin 61

Puisque quelqu'un est tombé, il y a quelques temps, sur mon blog avec la très ciblée recherche "que s'est-il passé le 23 juin 1961"... Que s'est-il donc passé le 23 juin 1961 ? Nom d'un oiseau bleu ?

Je cite =

"Sans préjudice des autres voies de droit, toute personne physique ou morale, citée nominativement ou implicitement désignée dans un écrit périodique, a le droit de requérir dans les trois mois l'insertion gratuite d'une réponse.

Toutefois, la critique scientifique, artistique ou littéraire ne donne ouverture au droit de réponse que si celle-ci a pour objet de rectifier un élément de fait ou de repousser une atteinte à l'honneur."

Loi du 21 juin 1961.

Instauration du droit de réponse dans l'univers de la presse et des médias de façon générale (en 61, les médias c'est surtout les journaux, aujourd'hui, c'est avant tout la télé et internet, j'en ai peur...)

2010-06-19

Bon...

Faut-il, ayant cité ce petit bout de l'article 1 de ladite loi, que je m'étende sur le sujet ?

Ca serait sûrement intéressant, mais à vrai dire j'ai l'impression que le principal a été dit.

Depuis 1961, la liberté de la presse se voit opposer celle de ceux qu'elle peut prendre pour cible (ben oui... avant cette loi, la seule réponse possible était d'intervenir dans un journal concurrent, lequel n'était pas lu par les mêmes lecteurs, et donc, j'vous fais pas un tableau, c'était guère efficace). Comment ça, c'est pas bien de réduire la liberté de la presse ? Pas faux, mais quand même, admettez qu'au cours de l'histoire, les journaux n'ont pas toujours été tendres, entre eux... Et ceux qui s'y expriment, alors ?

D'ailleurs, c'est bien simple : pourquoi il y a autant de journaux différents ? Hein ? S'ils étaient tous d'accord entre eux, ça se saurait...

 

*

Et... Petit exercice philosophico-pratique dans l'actualité :

Dans un cas comme celui-ci.

De quel côté est-il le plus juste de parler d'info à sensation ? Est-ce que le secret professionnel, d'un côté, devrait justifier la calomnie, de l'autre côté ?

Suite au comm' de Claudine, je précise = ceci est un exercice pratique, une mise en application, et rien de plus. Ce blog n'a pas vocation à concurrencer la presse people. Cet article porte sur la loi publiée le 23 juin 1963 (et tant que j'y suis, petite dédicace à l'anonyme qui a inspiré cet article)

 

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Commentaires
S
"Jauni" ne s'est présenté au bas de cet article que parce que l'opportunité s'en est présentée !<br /> L'actualité m'offrait un exemple... Je l'ai saisi.<br /> <br /> Ce blog fait plutôt dans l'actualité passée que dans celle du présent ! <br /> <br /> Et c'est des fois bigrement intéressant de s'intéresser au passé... Quoique cet article (le dernier en date) ne soit pas forcément le mieux réussi du blog... Loin de là.<br /> En fait, il est même assez raté. Il y aurait sûrement des tas de trucs à dire sur le droit de réponse et les années 50-60 !
P
Vaste sujet. En l'occurrence, "Jauni" ne pilote que sa vie et pas la nôtre (et c'est tant mieux !). Je m'en tape moi de savoir qu'il est alcoolo et qu'il a des soucis de santé. Cela n'interfère en rien dans ma vie. Cette presse là me navre, ce n'est qu'une question de fric point barre ! Quant aux élus qui prennent la parole pour le défendre.... ceux-là font feu de tout bois, surtout quand il faut faire allégeance au tout puissant. Presse et élus, à mettre dans le même sac, quoique un certain nombre de médias coexistent déjà avec le pouvoir. <br /> Ce sera tout pour ce soir,<br /> Bisous
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